Le rapport Réduire les écarts : L’importance des investissements en faveur des enfants les plus pauvres présente des éléments de preuve irréfutables venant appuyer une hypothèse audacieuse émise par l’UNICEF en 2010 : les coûts supplémentaires engendrés par les mesures permettant à des interventions à fort impact en matière de santé d’atteindre les plus démunis seraient compensés par l’obtention de meilleurs résultats. Cette nouvelle étude se fonde sur des modèles et des données issus de 51 pays. Les résultats indiquent que le nombre de vies sauvées lorsqu’on investit en faveur des plus démunis est presque deux fois supérieur au nombre de vies sauvées par un investissement équivalent en faveur de groupes moins démunis.